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Mousses et hépatiques, des organismes méconnus

Dernière mise à jour : 12 févr.

 Sur quelques mètres parcourus, les mousses (au sens large) forment un groupe important et bien spécifique dépendant de la présence d'eau pour leur reproduction. Ces organismes de petites tailles n’ont ni système vasculaire, ni fleurs, ni racines.



Les mousses tapissent les blocs de grès, les substrats forestiers et les arbres. Au premier abord, elles semblent toutes se ressembler et se font discrètes ! Mais, en observant de bien plus près, il y a une grande diversité de formes, de tailles et de supports.


Ligne 1, de droite a gauche : Leucobryum glaucum, Bartramia pomiformis, Leucodon sciuroides

Ligne 2 de droite a gauche : Radula complanata, Grimmia trichophylla, Hypnum andoi

Ligne 3 de droite a gauche : Bazzania trilobata, Atrichium undulatum, Zygodon

Ligne 4 de droite a gauche : Plagiomnum affine, Rhodobryum roseum, Syntrichia ruraliformis


Le site de Fontainebleau présente un intérêt certain pour la bryologie avec de nombreuses espèces et se démarque par la coexistence de plusieurs taxons en limite nord de son aire de répartition. Grace à leur présence, la forêt revêt une couleur verte tendre ce qui lui donne une allure féerique, en hiver.


Bibliographie :

V. Hugonnot, J. Celle et F. Pepin (2017) : Mousses et hépatiques de France. Deuxième édition. Éditions biotope. Mèze



 
 
 

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